De 1:15 à 1:30

70 €

Chèques, espèces, virement (je fournis un RIB)

Je préconise en début de thérapie un rythme idéal allant d’une fois par semaine, à une fois tous les quinze jours. Sur ce point, je tiens compte des disponibilités financières.

Tout se détermine dans la concertation.

Tout comme les patients sont libres de rêver, ils sont également libres d’arrêter de le faire, dans ce cadre thérapeutique. Ils peuvent alors poursuivre leur vie et leurs rêves, affranchis de ce qui les avait conduits à la consultation et riches de l’ouverture à leurs potentialités qu’ils ont retrouvées en eux-mêmes.

Le Rêve Éveillé Libre à la réputation d’être une forme de thérapie « plutôt courte ».

Néanmoins, il n’est pas possible de savoir à l’avance combien de temps va durer le travail thérapeutique en REL. Ce dernier peut s’échelonner de très peu de séances à un nombre nettement plus élevé. Tout dépend de l’évolution de la thérapie et du rythme de chacun, mais aussi des problématiques individuelles.

Dans le REL c’est l’inconscient individuel qui mène la barque de la destinée et marque le tempo, fonction de réels besoins profonds des rêveurs et rêveuses.

En tant que psychopraticien, je m’adapte au rythme ainsi imprimé, en dehors de tout projet, même celui « d’accélération », pour répondre à l’idée d’une « urgence » qui ne peut pourtant nécessiter la précipitation.

À l’époque où « tout doit aller vite », réapprendre à prendre son temps, c’est s’harmoniser avec son rythme intérieur, lorsque se (re)mettre à son écoute n’était pas encore la priorité.

L’engagement du patient, pour la qualité et l’efficacité de la cure est fondamental, tout autant, bien entendu, que celui du thérapeute. La qualité de l’alliance thérapeutique est nécessaire à la qualité de la thérapie, dans la confiance mutuelle.

En tant que psychopraticien je m’engage à respecter le code de déontologie de la profession (ADREL et FF2P). Je m’engage également  à respecter les horaires prévus en commun et le rythme individuel. Je m’adapte aux circonstances avec souplesse, mais non sans discipline.

Je demande de prévenir 48 heures à l’avance de tout besoin de changement dans l’agenda initialement établi en commun accord. Sans quoi la séance est due. Ne pas libérer un créneau peut impacter le besoin d’un(e) autre client(e) qui demande une consultation. Bien entendu, il y a des cas de force majeure, imprévisibles, (maladie, hospitalisation, par exemple), ce qui n’impose pas cette règle de bon sens. 

Lorsque nous arrivons en fin de thérapie, où que la cliente, ou le client, souhaite arrêter, pour toutes les bonnes raisons qui sont les siennes,  la concertation est de mise.

Le but est d’acter ce besoin de cesser les séances, d’en évaluer le bien fondé, de faire le bilan du chemin parcouru, de ce qui pourrait l’être encore, ou pas, en l’état satisfaisant de l’évolution. C’est un constat plutôt naturel, au bout du compte.

Nous convernons de la possibilité de revenir, au besoin. Parfois, « un an, cinq ans » après, ou plus,  un tel besoin de revenir rêver, pour une ou quelques séances, peut se faire sentir.

Nous avons fait un chemin ensemble, patient(e) et thérapeute, et bien souvent, c’est  le rêve éveillé lui-même qui nous parlent de ce qui acte de ce besoin de conclure, positivement, afin que la route se poursuive librement, en toute autonomie et indépendance, de l’un envers l’autre.

Du lundi au vendredi de 9:00 à 19:00
Le samedi de 9:30 à 16:00

Selon votre emploi du temps, il est possible de me demander d’adapter mes propres horaires. Ceci au cas par cas et compte tenu de mes possibilités.